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Photo du rédacteurKatja Hanska

L'Air du Temps




Dans le contexte planétaire actuel, et ceci depuis des mois, vous avez dû vous-mêmes ressentir les effets délétères des mêmes énergies récurrentes qui nous accablent pour la plupart, suscitant pour les uns, consternation, peur, colère, et révolte, voire la violence pour certains, dégradant non seulement la qualité de vie et la santé des populations, mais également la qualité des énergies qui nous entourent, engendrant un manque d'entrain et d'enthousiasme.


Les répercussions sur notre organisme se traduisent par l'affaiblissement de notre système immunitaire, et parfois un désintérêt pour la vie elle-même. De ce fait, nous évoluons quotidiennement dans une énergie de "faire" et non plus "d'être", sans stimulus nourrissant notre enthousiasme, nos élans, coupés des autres. Ce quotidien automatisé, du reste assez pénible dans cette grille énergétique, peut amener un désintérêt de la vie, une lente érosion de l'être pouvant dégénérer en dépression pour les personnes fragiles ou malmenées par les évènements.

La stimulation intense et répétée de ces énergies peut aussi engendrer un effet miroir, reflétant la tristesse, l'apathie, le découragement, la résignation. C'est d'autant plus flagrant que ces énergies tendent fortement à démolir nos structures institutionnelles, nos systèmes de santé, nos valeurs, nos emplois, nos entreprises et d'une manière générale, nos vies.


Nous assistons à un effondrement structurel de nos sociétés. Les grandes failles des gouvernements, de la justice et de notre système économique se révèlent au grand jour. L'illusion de la sécurité se dissipe. Face à cette déliquescence, l'individu isolé est désarmé. Il lui faut accepter la fin d'un monde qui s'annonçait déjà depuis longtemps, il doit se tourner résolument vers l'avenir, sans plus regarder en arrière et oublier qu'un jour, il retrouvera "sa vie d'avant". Il s'agit là d'un deuil collectif. N'essayons pas de composer avec un système en déchéance, nous ne pouvons qu'observer son agonie.


Sur le plan individuel, nous remarquons les frémissements d'une libération de cette forme d'attentisme dans laquelle les émotions sont réprimées et les initiatives avortées. A trop les refouler, c'est comme le jaillissement de la première coulée de lave d'une éruption volcanique, à la fois ardente et destructrice, mais libératrice d'une pression trop longtemps contenue.


Quelques uns vivent ces énergies au travers d'un déchaînement de violence et d'agissements inconsidérés, mais là n'est pas mon propos, je m'adresse à ceux qui ne craignent pas de souffrir encore un peu, à ceux qui savent qu'il va leur falloir faire le "gros dos" pour traverser l'épreuve, à ceux qui comprennent qu'il faut aller à l'essentiel, enfin à tous ceux qui ne veulent pas perdre leur âme dans une bataille où les plus forts ne sont pas les meilleurs.

Sur le plan collectif, ces énergies se manifestent par des revendications de liberté aussitôt réprimées par des forces d'un ordre qui n'existe plus. Selon leur fréquence la plus basse, ces énergies génèrent des besoins de nous battre, mais aussi de nous projeter dans le monde d'après. Ces deux types d'énergies se renforcent mutuellement. Nous pouvons choisir la guerre mais nous pouvons aussi opter pour la réalisation de nos objectifs. Il s'agit là d'un moyen d'affirmer sa personnalité (ce qui n'est pas mauvais en soi) et d'utiliser cette énergie combative à des fins constructives, comme soutenir un projet et donner une direction favorable à des évènements.

Néanmoins, ces germes de révolte sont pour nous l'occasion de lever le voile sur les mauvaises raisons qui nous maintenaient dans un semblant de confort et de sécurité, et d'ouvrir les yeux sur le lourd tribut que d'autres populations et espèces paient pour notre bien-être, les outrages infligés à la Terre dont les énergies semblent se déchaîner en une juste colère.


Quel que soit le sens que nous donnons à cette association d'énergies, nous avons davantage intérêt à cesser de nous obstiner face à des portes qui restent tout aussi obstinément closes et à renoncer à nous projeter dans l'avenir. C'est une question de "timing", ce n'est pas encore le bon moment ! Alors que faire dans une situation qui devient de plus en plus difficile ?


Il est est bon de se munir des bonnes "clés" pour traverser cette zone de turbulence dans les meilleures conditions possibles. Quelles sont ces clés ? La première clé est de vivre le moment présent. L'autre clé est celle qui vous permettra d'accroître votre lumière dans ces ténèbres qui nous entourent. Plus que jamais, le monde a besoin de la vibration lumineuse du plus grand nombre d'individus possible pour faciliter cette mutation vers un monde nouveau qui sera meilleur si nous en faisons l'effort.



Katja Hanska





Ceci est un extrait du 1er Cycle d'enseignements de la formation pour Guérisseurs & Thérapeutes de Katja Hanska Schoolf of Healing Energy

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