Lâcher-prise, ce n’est pas se montrer indifférent mais simplement admettre que l’on ne peut agir à la place de quelqu’un d’autre.
Lâcher-prise, ce n’est pas couper les liens mais prendre conscience que l’on ne peut pas contrôler autrui.
Lâcher-prise, ce n’est pas être passif, mais au contraire tirer une leçon des conséquences inhérentes à un évènement.
Lâcher-prise, c’est reconnaître son impuissance, c’est-à-dire que le résultat final n’est pas entre nos mains.
Lâcher-prise, ce n’est pas blâmer ou vouloir charger autrui mais donner le meilleur de soi-même.
Lâcher-prise, ce n’est pas prendre soin des autres mais se sentir concerné par eux.
Lâcher-prise, ce n’est pas « assister », mais encourager.
Lâcher-prise, ce n’est pas s’occuper de tout mais laisser les autres gérer leur propre destin.
Lâcher-prise, ce n’est pas materner les autres, mais leur permettre d’affronter la réalité.
Lâcher-prise, ce n’est pas rejeter, c’est accepter.
Lâcher-prise, ce n’est pas harceler, sermonner ou gronder mais déceler ses propres faiblesses et s’en défaire.
Lâcher-prise, ce n’est pas adapter les choses à ses désirs mais prendre chaque jour comme il vient et l’apprécier.
Lâcher-prise, ce n’est pas critiquer ou corriger autrui, mais devenir ce que l’on rêve de devenir.
Lâcher-prise, ce n’est pas regretter le passé mais vivre et grandir pour l’avenir.
Lâcher-prise, c’est craindre moins et aimer davantage.
Katja Hanska
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